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    Source : http://www.notretemps.com/droit/deces-de-barthelemy-pineau-figure-de,i62483

     

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    Barthélémy Pineau,  http://www.francaislibres.net/liste/fiche.php?index=90961 figure importante de la dissidence antillo-guyanaise durant la Seconde guerre mondiale, est décédé à l'âge de 92 ans et a été inhumé dans sa ville natale en Guadeloupe, ont annoncé mercredi les ministres des Outre-mer et des Anciens combattants.

    George Pau-Langevin et Kader Arif ont salué, dans un communiqué, la mémoire de celui qui était surnommé "le Chancelier", comme l'un des "principaux témoins de cette fabuleuse épopée de la Résistance française".

    La "Dissidence" est un mouvement de résistance encore trop méconnu de Martiniquais, Guadeloupéens et Guyanais qui ont rejoint entre juin 1940 et juillet 1943 l'appel du général de Gaulle. Au moins 2.500 hommes et femmes avaient gagné les îles anglaises environnantes (La Dominique, Saint-Lucie essentiellement) où ils avaient été accueillis par les bureaux de recrutement des forces françaises libres.

    Barthélemy Pineau, "retraité militaire et de l'Education nationale, officier de réserve, chevalier de la Légion d'honneur et de l'Ordre national du mérite", n'avait pu se rendre à l'invitation de François Hollande à participer, avec six autres figures de la Dissidence, à l'hommage rendu par la Nation le 2 juin dernier aux Invalides ainsi qu'au 70e anniversaire du débarquement, "affaibli par la maladie", selon le communiqué.

    "Il s'est éteint à 92 ans un 18 juin, jour de l'appel du Général de Gaulle, qu'il surnommait affectueusement le +Général Micro+", soulignent les deux ministres, et son enterrement s'est déroulé six jours plus tard.

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  • Vient de paraître :

     

     

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    « Ici Londres, les Français parlent aux Français. » Cette phrase fait partie de notre histoire. Entre le 18 juin 1940 et septembre 1944, la voix de la France a été celle de « Radio Londres ». Chaque soir, dans le studio de la section française de la BBC, des « Voix de la Liberté » se sont relayées pour mener une impitoyable « guerre des ondes ». Répondant à la propagande nazie, elles ont fait passer, de l’autre côté de la Manche, des informations, des messages de combat et d’espoir, souvent personnels et parfois codés. À travers les éditoriaux, des chroniques, ou des sketches, elles ont trouvé les mots, les phrases, les formules qui ont donné aux Français la force de résister.

    Journalistes, volontaires de la France Libre, militaires, ces « soldats du micro », femmes ou hommes, étaient pour la plupart des amateurs vivant la guerre en direct. D’où venaient-ils ? Comment s’étaient-ils engagés dans cette aventure ? Croyaient-ils en la victoire finale ? Mesuraient-ils le prix de leur sacrifice ? Après la guerre, il suffisait qu’ils s’expriment dans un lieu public pour que l’assistance reconnaisse leurs voix et applaudisse.

    Écrit à partir d’archives inédites et fourmillant d’anecdotes, le livre de Jacques Pessis, journaliste au Figaro et auteur de nombreuses biographies, est le « roman vrai » de leur épopée.

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  • Maquis de Saint-Marcel. C'est parti pour trois jours de commémorations

     

    Je souhaite la plus grande réussite à ces commémorations qui m'on l'air magnifiquement préparées

     


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