• http://www.bnf.fr/fr/evenements_et_culture/auditoriums/f.journaux_resistance.html?seance=1223917800203

     

    "vendredi 28 novembre 2014 9h30-18h00

    « Mensuel malgré la Gestapo et la Milice » : relire les journaux de la Résistance après leur numérisation. Nouveaux usages et nouvelles perspectives

    Organisée à l'occasion du 70e anniversaire de la Libération, cette  commémorations se déroulera en présence des acteurs de l’époque.
    Les collections de la BnF ont été numérisées ainsi que celles du Musée de la Résistance nationale (MRN), celles de la BDIC le seront en 2015. Une page spécifique sera consacrée à ces journaux dans Gallica, fédérant pour la première fois ces collections en une collection numérique unifiée.

    Avec notamment Marie-Cécile Boujut, Jean-Marie Guillon, Antoine Spire, Roger Grenier, Jacqueline Fleury, George Séguy, Jean-Louis Crémieux-Brihlac, Anne Renoult, département de réserve des livres rares et Philippe Mezzasalma, Bruno Leroux, Guy Krivopissko, Antoine Prost, Professeur émérite à l’université Paris I, Jean-Marie Guillon

    16h30 Projection
    Défense de la France, film de Joëlle Effenterre. 2007, 86 minutes
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    "Annoncé le 23 mai mais pas encore décerné au lauréat, le prix D'Estienne d'Orves 2014 a été officiellement remis, fin octobre, à Paris, à Jean-Mathieu Boris, auteur de Combattant de la France libre (paru chez Perrin).

    ...   " .la suite : http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2014/11/12/le-prix-d-estienne-d-orves-12889.html 


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  • http://www.midilibre.fr/2014/11/12/la-legion-d-honneur-pour-une-resistante,1080075.php  :

     

    Frontignan : la Légion d’honneur pour une résistante

    Yolande Theule-Bacquet a été décorée lors de la célébration du 11-Novembre.

     

    Il y en avait du monde ce 11 novembre au matin sur la place Jean-Jaurès : habitants, enseignants, conseil municipal ceint de l'écharpe tricolore et quasi au complet, le père Christian Boudarel, curé de la paroisse, les anciens combattants, les officiels représentant les autorités militaires, la police nationale, les sapeurs-pompiers La commémoration de la signature de l'armistice de la Première guerre mondiale, même en cette année de centenaire, n'explique pas à elle seule une telle affluence. La remise de la Légion d'honneur au grade de chevalier, à Yolande Theule-Bacquet,  http://www.francaislibres.net/liste/fiche.php?index=98471  qui réside à Frontignan, est sûrement une meilleure explication.

    Une distinction refusée une première fois

    Après l'avoir refusée une première fois, l'ancienne résistante, âgée aujourd'hui de 89 ans, a accepté de recevoir cette distinction que lui a accordée le Premier ministre dans la promotion du 14 juillet dernier. On l'a sentie émue après que Lucien Festor, résistant français libre du réseau Gallia, lui a accroché au côté gauche cette étoile du mérite. Celle que tout le monde appelle "Yolande", qui témoigne sans relâche auprès des élèves, est connue pour sa modestie comme l'a rappelé le maire Pierre Bouldoire dans son discours : "Vous m'avez dit : “Combien d'hommes et de femmes ont fait sans doute plus que moi dont le sacrifice n'a pas été reconnu !”".

    Chaleureusement applaudie, entourée de sa famille, recevant maintes félicitations - "Merci pour l'humanité !" - dont celles du député Sébastien Denaja venu pour l'occasion, Yolande Theule-Bacquet se disait "heureuse" à l'issue de la cérémonie mais "émue" en pensant à "tous ces hommes et ces femmes dont les noms ne figurent pas sur les monuments aux morts, ces soldats des colonies qui sont venus se casser la figure pour nous, comme l'a dit le maire. Son discours, c'était du grand Bouldoire !"

    "À 18 ans, on n'a pas peur !"

    Aujourd'hui encore, sa fonction d'agent de liaison et de renseignement au sein du réseau Cotre-Tramontane lui apparaît toujours comme une évidence et pas comme un acte de courage qui aurait pu lui coûter la vie : "A 18 ans, on n'a pas peur ! Je n'ai fait que suivre ce que faisaient mes parents. Mon père avait contracté un engagement dans les Forces françaises libres de ce réseau. Il devait être arrêté le 28 février 1943 mais il a été averti la veille par un inspecteur de police de Sète, M. Le Prévot. Vingt-trois personnes dont dix-neuf résistants devaient être arrêtées ce jour-là et cet inspecteur avertissait les résistants ; les autres, coupables de délits mineurs, ne risquaient pas grand-chose."

    "Il m'a demandé si je pouvais me charger d'en avertir trois. Ce que j'ai fait. Et puis, celui qui a remplacé mon père à la tête du réseau m'a demandé si je voulais travailler comme agent de liaison. J'ai demandé la permission à ma mère - je n'avais pas 18 ans - et je suis devenue agent P1 jusqu'à la Libération. Je transmettais des messages ou des informations que j'obtenais des Allemands qui venaient à la papeterie. C'est comme ça que tout a commencé."

     


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    "Un légendaire compagnon de la Libération centenaire"

    Toujours vaillant, le Pr Guy Charmot prendra la parole pour l'anniversaire de la mort du général de Gaulle.  

     

     

    Article (payant) à découvrir sur http://www.laprovence.com/article/edition-marseille/3116931/un-legendaire-compagnon-de-la-liberation-centenaire.html


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  • http://www.ladepeche.fr/article/2014/10/27/1979954-une-annee-memorielle-et-un-centenaire.html

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    "Une année mémorielle et un centenaire"

    L'année 2014, année mémorielle par excellence pour l'histoire de France et celle du monde, avec une dimension familiale et affective pour la famille Sereing. En effet, en ce mois d'octobre, la famille s'est réunie pour fêter les 100 ans de Marc,  http://www.francaislibres.net/liste/fiche.php?index=96150  né le 15 octobre 1914 à Jégun, dans le Gers ; venu au monde quelques semaines après la mobilisation et la déclaration de guerre, il ne connaîtra jamais son père Jean-Paul. Après une enfance passée dans son village natal, il quittera le foyer à 12 ans pour devenir commis boucher, avec le «vieux» Dubertrand ; un métier qu'il exercera jusqu'en 1939, où l'histoire le rattrape : il sera mobilisé et envoyé au front avant de redescendre dans le Sud-Ouest. La Grande Guerre pour son père, la Drôle de guerre pour lui, jusqu'à l'appel du général de Gaulle qui lui fera gagner l'Angleterre, non sans avoir été interné au camp de Miranda, en Espagne. Médaillé des Forces française libres (FFL) et des anciens combattants volontaires de la Résistance, il reviendra à Tarbes la guerre terminée pour aider sa sœur Alice, jeune veuve, à élever ses enfants. Il y rencontrera Pauline Formage, une Maubourguétoise qu'il épousera. «Vient alors le temps de la reconstruction de la France.» Marc et Pauline monteront à Paris pour travailler, et y resteront trente-cinq ans, avec le bonheur de la naissance de deux fils : Jean-Bernard et Daniel.

    à l'heure de la retraite, à nouveau la direction du Sud-Ouest avec cette fois-ci une installation à Sombrun, avant de gagner Maubourguet, où le couple réside depuis 1985. Un petit déplacement vers le sud, jusqu'à Vic, où, au Relais de Baloc, la famille a fêté les 100 ans de Marc. Un centenaire que n'a pas manqué de marquer le maire de Maubourguet, venu remettre à Marc Sereing la Médaille de la ville. Une belle fête assurément, avec des vœux de prolongations.

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