•  

    Source : http://www.francenetinfos.com/d-day-embarquez-2eme-db-du-general-leclerc-72359/

    "

    L’émission La Case du siècle présentée par Fabrice d’Almeida diffusera le dimanche 25 mai à 22h25 sur France 5 un documentaire inédit de Philippe Tourancheau  La 2ème DB, de Paris au refuge d’Hitler. Le réalisateur vous fera embarquer au côté de la célèbre Division blindée dirigée par le Général Leclerc secondé par le Commandant Massu durant la campagne de France de l’été 1944 à la prise du « Nid d’Aigle » le 4 mai 1945."


    votre commentaire
  •  

    Source : http://bretagne.france3.fr/2014/05/08/joseph-93-ans-rejoint-charles-de-gaulle-londres-473425.html (Comporte une vidéo)

    En 1940 la France est envahie par l'Allemagne nazie. Exilé à Londres, le Général De Gaulle lance un appel à la lutte le 18 juin, environ 50 000 français y répondront. Dont Joseph, Malouin aujourd'hui âgé de 93 ans.

    • Par Stéphane Grammont

    Joseph, 93 ans, a rejoint Charles de Gaulle à Londres

     

    "Il faut sauver le soldat Ryan", "Mémoire de nos pères", ou encore "Band of brothers", pour quelques générations la seconde guerre mondiale se résume à quelques films américains. 

    Pourtant les héros français existent bel et bien. Ce 8 mai, jour de la commémoration du conflit le plus meurtrier du XXè siècle, à Paramé, plusieurs sont venus rendre hommage à leurs frères d'arme morts au champs d'honneur.

    Parmi eux Joseph 93 ans.  http://www.francaislibres.net/liste/fiche.php?index=20306

    Il a 19 ans quand il décide de répondre à l'appel du Général De Gaulle, il se rend à Londres pour s'engager le 15 avril 1942. Marin pêcheur de métier, il est affecté comme radio sur la corvette Aconit. Sa mission ? Protéger les bateaux alliés qui traversent l'Atlantique et éviter les torpilles des sous marins allemands.


    votre commentaire
  • "Mémoire de 39-45 : la grande confusion "

    "Mémoire de 39-45 : la grande confusion "

     

     

    Par Eric Conan et Guy Konopnicki, sur le site http://www.marianne.net/Memoire-de-39-45-la-grande-confusion_a238800.html

     

    Tres bonne tribune !

    Source image : http://gw.geneanet.org/mdorange?lang=it&m=NOTES

     

     

    "

    Il ne semble plus possible de célébrer la mémoire des guerres passées que sous le signe de la victime universelle. Une lecture « droits-de-l'hommiste » rétrospective, dans laquelle il n'y a plus ni héros ni responsables, mais que des victimes qui méritent toutes la même compassion. C'est fait depuis longtemps pour 14-18, qui n'est plus transmissible que du point de vue du calvaire des « poilus » de tous bords, mais cet arasement du récit historique au profit de l’émotion emphatique tend à imprégner la Seconde guerre mondiale, de plus en plus désidéologisée.

    Ouest France nous relate ainsi de manière confondante un exemple récent, lors de la commémoration du 8 mai dans le cimetière d'Orglandes, en Normandie, où sont enterrés plus de 10 000 officiers et soldats allemands tombés lors de la longue et terrible bataille de Normandie, quand le Reich mobilisait ses dernières forces pour repousser les Alliés débarqués le 6 juin 1944. Le quotidien normand nous raconte en effet que les autorités françaises et allemandes se sont regroupées pour une double cérémonie de paix et de réconciliation, à la fois à la mémoire de Pierre Devouassoud  http://www.francaislibres.net/liste/fiche.php?index=64996  et Magloire Dorang,  http://www.francaislibres.net/liste/fiche.php?index=65796   deux aviateurs fusillés par les Allemands à Montebourg le 12 avril 1941 et inhumés dans le cimetière d'Orglandes, et à la mémoire des « 10 132 soldats allemands tombés au service de leur patrie ». En l’occurrence, la « patrie » que la Wehrmacht défendait alors sur le sol normand, c’était la nouvelle Europe allemande qui avait pris physiquement la place de la patrie française pour laquelle les deux pilotes avaient donné leur vie.

    Tout cela semble aujourd’hui trop compliqué à expliquer et devant les autorités françaises et allemandes réunies, le Colonel Frank Fisher, représentant l'ambassade d'Allemagne, a préféré la bouillie confusionniste qui se répend de plus en plus : « Les cimetières de guerre sont un témoignage de cet affreux gâchis de jeunes vies fauchées par la folie meurtrière des hommes ». Gross Malheur la guerre ! Quelle guerre ? En la réduisant à la souffrance éprouvée dans les deux camps, on occulte le caractère même de la Seconde guerre mondiale, déclenchée par l’Allemagne nazie, dans le but, clairement énoncé d’établir la domination de la « race des seigneurs » sur l’Europe. On occulte, aussi, le droit international, fondé, depuis le procès de Nuremberg sur la condamnation des chefs nazis pour crime contre l’humanité.

    Les soldats allemands tombés au cours de la bataille de Normandie pouvaient paraître pitoyables (au sens propre dignes de pitié) à l’heure de la défaite. Ils n’en appartenaient pas moins à une armée qui, pendant quatre années, a multiplié les crimes et les exactions en France et dans toute l’Europe occupée. Imagine-t-on une cérémonie de réconciliation, reproduisant celle d’Orglandes à Tulle, où l’on pleurerait ensemble les civils français pendus aux réverbères et les soldats de la division Das Reich ? Et pourquoi ne pleurerait-on pas, ensemble, les combattants juifs tombés pendant l’insurrection du Ghetto de Varsovie et les soldats allemands victimes de cette même bataille ?

    La prétendue égalité des souffrances générées par les « vies fauchées » renvoie dos à dos ces soldats, en partie gorgés d’idéologie, obéissant en tout cas aux ordres criminels de Hitler, et ceux qui, comme les deux aviateurs français « célébrés » à Orglandes, osèrent affronter l’ennemi et reprendre le combat, en dépit de la trahison. Car la cérémonie associe deux aviateurs français, que les nazis refusèrent de traiter en prisonniers de guerre et qui furent donc fusillés. On ne saurait mieux piétiner la mémoire de ces hommes, qui avaient le courage de combattre en 1941, quand la Wehrmacht était victorieuse sur tous les fronts, qu’en les célébrant au même titre que les derniers aveugles de l’Allemagne nazie, obéissant encore et toujours, quand le débarquement allié scellait la défaite du Reich.

    Les larmes faciles inspirées par les horreurs de la guerre ne sauraient se substituer à l’Histoire. La réconciliation des peuples d’Europe - à laquelle il ne faut cesser d’œuvrer - n’aurait aucun sens s’il fallait lui sacrifier la conscience de ce que fut le régime nazi, qui, pour avoir bénéficié de complicités et de lâchetés, n’en demeure pas moins le seul responsable de la guerre de 1939-1945 et de son cortège d’atrocités.

    "

     


    votre commentaire
  •  

    Source :   http://www.neuillyjournal.com/actus/neuilly-actu/item/7205-a-paraatre-le-reseau-ajax-des-policiers-dans-la-resistance 

    Écrit par  NJI

    "

    A la fin du mois de mai, vous pourrez découvrir "Le réseau "Ajax", des policiers dans la Résistance", un livre d'histoire de Yves Mathieu.

    Dès qu'il est reconnu chef des Français Libres par le gouvernement britannique, le 28 juin 1940, le général de Gaulle confie au capitaine Dewavrin (alias colonel Passy), le soin d'organiser ce qui deviendra le Bureau central de renseignements et d'action (BCRA).

    À la Libération, 270 réseaux du BCRA sont reconnus en tant qu'unités des Forces Françaises Combattantes. Ajax était de ceux-là.

    Réseau d'action et de renseignement créé au printemps 1943, dirigé jusqu'à la Libération par le commissaire de police Achille Peretti, sa spécificité résidait en ce que l'essentiel de ses effectifs (près de 1 200 hommes et femmes) était constitué de policiers. Situés au cœur même des rouages de l'administration en charge de l'application de la répression vichyste – fonctionnaires félons aux yeux de Vichy qui n'a jamais cessé de les traquer –, les membres d'Ajax ont représenté pour Londres une source inestimable d'information. L'armée britannique évoque le rôle d'Achille Peretti et l'importance du réseau Ajax dans la citation qui accompagnait l'attribution du Distinguished Service Order : « ... Au cours de l'exécution de cette mission, il créa un système couvrant toute la France [...] que le War Office considère en qualité comme la meilleure de ses sources d'origine française. »

    Yves Mathieu, commissaire divisionnaire honoraire et ancien directeur départemental de la Sécurité publique, s'est appuyé sur une abondante documentation – travaux universitaires, témoignages, archives publiques et privées – pour mener à bien l'écriture de ce premier livre consacré à l'histoire du réseau Ajax.



    Achille Peretti, ancien maire de Neuilly et initiateur du réseau Ajax

    Le 13 juin 1943, jour de son anniversaire, sous le nom de Paul Vatier, Achille Peretti (1911 – 1983) rejoint l'Angleterre. A Londres, il rencontre le colonel Passy qui lui donne pour mission de mettre sur pied un réseau de renseignements qu'Achille Peretti baptisera « Ajax».

    Nommé directeur adjoint de la Sûreté nationale, il prépare à Alger, la mise en place des services de police au moment du débarquement. Devenu préfet, il rentre à Paris aux côtés du général de Gaulle dont il assure la protection lors des journées troubles de la Libération de Paris, le 25 août 1944. En 1947, Achille Peretti est élu maire de Neuilly et il le demeurera jusqu'à sa disparition, trente-six ans plus tard.


     

     

    Yves Mathieu : Le réseau « Ajax », des policiers dans la Résistance
    272 pages + cahier photo. Mai 2014 – 25 euros
    Editions Loubatières.
    "

    votre commentaire
  • Source : http://time.com/92643/d-day-color-photos-from-england-and-france-before-and-after-invasion/

    Un char du 501e RCC

    La Liberation de Paris en couleurs

    Tanks Stuart du 1er RMSM

    La Liberation de Paris en couleurs

    Le général Koenig :

    La Liberation de Paris en couleurs


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique