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    Extrait de : LA LIBERATION VUE PAR LES PEINTRES DE L'ARMEE. ADDIM. 1994

     

    La 1ere Division Française Libre, par Marc Montowicki

    La Liberation vue par les Peintres aux Armées

     

    Bir hakeim, par Jean Ernotte

    La Liberation vue par les Peintres aux Armées

     


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  • Extrait de :

     

    Extrait de http://www.sudouest.fr/2014/01/02/je-suis-ne-en-1914-1417746-2780.php

    "S'il est un homme heureux en ce début janvier, c'est bien Marcel Barbary.  http://www.francaislibres.net/liste/fiche.php?index=53333 « Je vais fêter mes 100 ans, dit-il avec fierté. Ce sera le 22 janvier mais c'est le 24 qu'il y aura une grande fête à la mairie de Bordeaux. » Lui, 100 ans ? On a du mal à le croire. Le doute est encore plus grand lorsque l'intéressé exécute une démonstration de gymnastique. Un, deux, trois ! Sans plier les jambes, il se casse en deux, baisse les bras et touche le sol avec ses doigts. « Mince, je suis bloqué ! », lance-t-il les mains collées au plancher. On s'inquiète, on se précipite pour l'aider à se relever. C'est là qu'il éclate de rire et se redresse d'un coup. « C'est une blague ! Je la fais à tout le monde. » Au temps des fiacres « Si on m'avait dit que j'arriverais à 100 ans, je ne l'aurais pas cru, enchaîne-t-il. Lorsque j'étais jeune, les gens mouraient à 60 ans. Cela me fait penser au gars qui est venu un jour me voir pour augmenter mes cotisations de retraite en disant que j'en aurais bien besoin. Je lui ai ri au nez en lui disant que je n'y parviendrai pas...."

     

    S'il est un homme heureux en ce début janvier, c'est bien Marcel Barbary. « Je vais fêter mes 100 ans, dit-il avec fierté. Ce sera le 22 janvier mais c'est le 24 qu'il y aura une grande fête à la mair


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    Extrait de http://www.lapresse.ca/arts/spectacles-et-theatre/theatre/201312/30/01-4724675-gilles-pelletier-le-vieux-chene-du-theatre-quebecois.php

    où vous pourrez lire l'integralité de l'article

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    L'enfance de l'art

    Gilles Pelletier   http://www.francaislibres.net/liste/fiche.php?index=35507 est né à Saint-Jovite, le 22 mars 1925. Sa famille déménage à Montréal peu de temps après, et son père y installe son cabinet de notaire. Les Pelletier sont cultivés. Albert Pelletier a fondé une maison d'édition, une revue littéraire et a été critique au journal Le Canada. Sa femme, Marie-Reine Vaugeois, jouait du piano et organisait des soirées littéraires et musicales, le samedi soir. Leur fille aînée, Denise, a été une actrice légendaire. Elle et son petit frère ont fait très jeunes leur apprentissage dramatique, avec les Sita Riddez, François Rozet, Jean Valcourt, entre autres maîtres.

    Les Pelletier reçoivent, rue Saint-Hubert, angle Cherrier, l'intelligentsia de l'époque: Olivar Asselin, Claude-Henri Grignon, Saint-Denys Garneau et plus tard Roger Lemelin. Grignon a même écrit Un Homme et son péché dans leur maison, profitant des précieux conseils d'Albert Pelletier.

    Malgré l'aura artistique de sa famille, à 17 ans, Gilles Pelletier quitte les études préparatoires pour devenir matelot. Il effectue un stage dans une école navale, puis s'engage dans la marine. Il navigue avec les Forces navales françaises libres durant la Seconde Guerre mondiale. Il a même pensé se faire naturaliser français...

    Or, à la fin de la guerre, le destin fait bifurquer sa route. «Je devais partir en expédition aux Antilles. La veille de mon départ pour New York, le bateau a fait abordage. L'expédition a été retardée. Comme je n'avais pas de boulot, j'ai donné la réplique à ma soeur qui apprenait un rôle. Un acteur de la production s'est désisté; je me suis offert pour le remplacer.»"

     

    Gilles Pelletier, le vieux chêne du théâtre québécois


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  • Extrait de http://www.tv5.org/cms/chaine-francophone/info/p-1911-Polemique-sur-des-resistants-en-France-un-livre-retire-en-Suede.htm?&rub=5&xml=140107170854.7ecae3eg.xml

     

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    Polémique sur des résistants en France: un livre retiré en Suède

    STOCKHOLM, 07 jan 2014 (AFP) - 07.01.2014 17:08

     

    Une polémique sur les états de service réels de résistants français a provoqué lundi le retrait d'un livre en Suède, une biographie de Jan Guillouhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Jan_Guillou un des auteurs les plus célèbres de ce pays.

    La Maison d'édition Norstedts enquête à présent "sur des inexactitudes dénoncées à propos du livre (...) qui aurait dû sortir aujourd'hui, le 7 janvier 2014.

    L'éditeur a également décidé de rappeler les exemplaires qui auraient éventuellement pu être livrés aux libraires", a indiqué dans un communiqué l'éditeur.

    "Élévation au-dessus de tout soupçon: un livre sur Jan Guillou", du journaliste Paul Frigyes a suscité la colère de l'écrivain.

    Le biographe y affirme entre autres que Jan Guillou, 70 ans, auteur de romans d'espionnage et policiers à succès, a exagéré l'implication dans la Résistance de son père et de son grand-père français, Charles et Lucien Guillou.

    M. Frigyes souligne que leur entrée dans la Résistance est très tardive. Il relève qu'on ne trouve pas leurs noms dans la liste des membres des Forces françaises libres, alors que Jan Guillou affirme qu'ils en font partie.

    La liste comprend les Français engagés dans la Résistance avant juillet 1943.

    Jan Guillou, invité sur la chaîne de télévision publique suédoise SVT lundi matin, a défendu la mémoire de sa famille en montrant une photo de son père en uniforme des FFL.

    M. Frigyes, présent face à lui, a rétorqué qu'être devenu résistant "en 1945, deux mois seulement avant la fin de guerre", ne faisait pas vraiment de lui un combattant des FFL.

    Dimanche dans le quotidien Expressen, Jan Guillou avait précisé que si son grand-père avait accepté d'être envoyé à Stockholm en juin 1944 comme attaché à l'ambassade de France, ce n'était pas pour aider le régime de Vichy mais pour y monter une représentation de la Résistance.

    Interrogé par ce même journal à propos du livre, Charles Guillou l'avait qualifié de "scandale".

    Une autre erreur explique le retrait du livre: Jan Guillou a démontré, relevé de notes à l'appui, qu'il n'avait pas été exclu de son lycée, comme le prétendait son biographe."


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