• Lignes de Front 05. Bir Hakeim

    Date de parution : 15/04/2015 | ISBN : 978-2-7560-3889-6

    Scénario : Jean-Pierre PÉCAU

    Dessin : BRADA

    Couleurs : THORN

    Série : Lignes de Front

    Collection : HISTOIRE & HISTOIRES

     

    Des extraits à découvrir ici : http://player.izneo.com/read/9782756038896.html

     

    Parution BD : "Lignes de Front 05. Bir Hakeim" Editions DELCOURT

     

     

     

     


    votre commentaire
  • Uniforme  d'Irene Havelka http://www.francaislibres.net/liste/fiche.php?index=73648

     

    Veste d'Irene Havelka, du Corps des Volontaires féminine

    Uniforme d'Irene Havelka, du Corps des Volontaires féminine

     

    Uniforme d'Irene Havelka, du Corps des Volontaires féminine

    Uniforme d'Irene Havelka, du Corps des Volontaires féminine

     

    Uniforme d'Irene Havelka, du Corps des Volontaires féminine

     

     


    votre commentaire
  • Source : http://www.ouest-france.fr/ancien-francais-libre-il-raconte-la-guerre-3330842

     

     

    "

    Pierre Crosnier,  http://www.francaislibres.net/liste/fiche.php?index=62898  18 ans en 1940, a raconté aux jeunes sa vie de Français libre et son passage dans la ville, le 6 août 1944. Un témoignage qui va au-delà des livres d'histoire.

     

    À 93 ans, Pierre Crosnier n'a pas perdu de son énergie. Cela fait 70 ans qu'il va à la rencontre des jeunes pour leur raconter la Guerre. Fort de son histoire, il a échangé, jeudi, avec les collégiens de Jean-Rostand et de Saint-Michel.

    Difficile de résumer la vie de Pierre Crosnier. À 18 ans, il a quitté sa Bretagne natale pour partir en Angleterre. « J'avais toujours entendu dire : « Le sale Boche, il ne vaut mieux pas le voir ». Après mon bac, mon père m'a dit de partir. Les Allemands étaient tout proches. »

    « Tas de ruines »

    Engagé dans une unité Combattante française libre pendant toute la guerre, matricule 1878, il a servi en Afrique équatoriale, en Afrique du Sud, au Moyen-Orient, en Afrique du Nord, dans la campagne de France et en Allemagne pour finir à Berchtesgaden. « On aurait jamais pensé qu'on irait planter notre drapeau dans le repaire d'Hitler. »

    Il parle « du débarquement à Utah Beach, un coup de poignard qui a surpris les Allemands », de la libération de Royan, « un tas de ruines » ou encore des officiers de la Gestapo, « par principe, des salopards ». Comme Français libre, il a été condamné à mort, « mais 70 ans après, je me porte bien », sourit-il.

    Face à lui, des troisièmes du collège Jean-Rostand, qui viennent d'étudier la Seconde Guerre mondiale et la Libération. Mais leurs questions ne portent pas sur les dates ou les événements, mais sur la vie à cette époque.

    Un collégien pose la première question : « Est-ce que vous avez été blessé ? » Pierre Crosnier parle « de trois obus, en Lorraine, qui ont perforé le char. Nous avions un entraînement intensif pour rentrer et sortir du char en neuf secondes. » Il marque une pause. « Regardez votre montre, dit-il aux jeunes. Vous imaginez neuf secondes Leur feu nous a marqués, mais nous étions vivants, c'était le principal. »

    Les squelettes des camps

    Un autre lui demande s'il avait des nouvelles de sa famille. « Aucune, depuis 1940. J'ai appris en arrivant à Paris que mon père avait été déporté, en décembre 1943. » Pierre Crosnier relate que tout le monde ignorait l'existence des camps de concentration. « Quand on a pu voir, c'était affreux. Des squelettes. On mettait trois hommes complets dans un cercueil ordinaire. »

    Il raconte son père, joueur de rugby, passé de 90 kg à 45 kg. Silence absolu dans la salle. Une collégienne lève la main : « Comment avez-vous su pour les camps ? » Pierre Crosnier répond :« À l'odeur, autour des camps, ça sentait la viande grillée. »

    Son témoignage regorge aussi d'anecdotes, qui allègent l'atmosphère. Comme l'histoire d'un prête, arrivé avec le ravitaillement, qui louchait sur un livre pornographique d'un camarade. « Le curé d'Écouché lui a fait dire la messe et on s'est rendu compte que ce n'était pas un prêtre. À l'intérieur de son bras gauche, il y avait le tatouage de son numéro de SS. » Le faux prêtre a été fusillé sur place.

    Les collégiens boivent ses paroles. Pierre Crosnier, qui vit à Saint-Gildas-des-Bois, en Loire-Atlantique, témoigne depuis plusieurs années dans les établissements scolaires. « Il y a encore des jeunes qui s'intéressent à ces questions-là, se réjouit-il. Sça devait se reproduire, ça serait avec ces jeunes. Or, c'est une plaisanterie assez effrayante.

    Chrystel CHATOUX.

    »


    votre commentaire
  • Militaria MagazineN° 357 du 31 Mars 2015

    Dans les Kiosques :

    LOS !N° 19 du 3 Mars 2015

    Dans les Kiosques :

    39-45 MagazineN° 330 du 19 Février 2015

    Dans les Kiosques :

    Histoire & Batailles Magazine N° 12 du 12 Février 2015

    Dans les Kiosques :


    votre commentaire
  • Je pensais que les médias présentaient à tord le général Aussaresses comme ancien des Forces Françaises Libres...(comme c'est le cas pour le général Bigeard)--> voir : http://www.lemonde.fr/disparitions

    Je me trompais car on peut apercevoir sur cette photo la médaille de la France Libre :

     

    Le général Aussaresses Français libre

    Cependant,  la lecture de son parcours durant la seconde guerre mondiale sur différents sites, ne permet pas de connaître les circonstances de son engagement dans les FFL

     

     


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique