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Par bir hakeim le 22 Octobre 2014 à 12:34
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- Éditeur : Delcourt
- Scénario : Jean-Pierre PÉCAU
- Dessin : BANE
- Couleurs : THORN
- Série : Lignes de Front
- Collection : Histoire & Histoires
- Format : 31,4 x 22,8 cm
- Pages : 56 pages
- Sortie : 3 septembre 2014
- Prix : 14,50 €
- ISBN : 978-2-7560-3511-6
Automne 1941. Depuis plusieurs mois, les Anglais repoussent les Italiens en Libye, mais les choses vont changer avec le débarquement de l’Afrikakorps. Yates, engagé chez les Scorpions du désert, est chargé de détruire les aérodromes allemands. Au retour d’une opération, son groupe reçoit l’ordre de rejoindre la colonne de Leclerc. Parmi les Français libres, il tombe sur Milou..
En savoir plus sur http://www.editions-delcourt.fr/catalogue/bd/lignes_de_front_03_lrdg"
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Par bir hakeim le 22 Octobre 2014 à 12:22
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A priori, Daniel Cordier illustre à la perfection une des théories d'Eric Zemmour : les premiers résistants venaient de l'extrême droite, tandis que la gauche alimentait les rangs de la collaboration. Anti-dreyfusard, antisémite, membre de l'Action française, fondateur du Cercle Charles-Maurras à Bordeaux : voilà qui correspond en tous points aux canons du polémiste médiatique. Fervent nationaliste, Daniel Cordier avait rejoint Londres et les rangs de la France libre dès juin 1940, alors qu'il n'avait que 19 ans. Parachuté en France, il était devenu le secrétaire de Jean Moulin dans la clandestinité. A 94 ans, le compagnon de la Libération est un des derniers témoins de cette époque revisitée par Eric Zemmour. Et la démonstration vivante de la thèse que le journaliste défend sur tous les plateaux de télévision et dans son dernier livre, Le Suicide français.
Pourtant, Daniel Cordier, qui se consacre à un travail d'historien depuis la fin des années 1970, conteste cette caricature. « Prétendre cela, n'a aucun sens. Notre engagement était un choix individuel qui n'avait rien à voir avec telle ou telle opinion. Il s'est déterminé sur quelque chose de beaucoup plus profond, de plus personnel. » L'homme explique comment toutes les tendances, toutes les influences, toutes les philosophies étaient représentées à Olympia Hall, le vaste hangar londonien où étaient réunis les premiers volontaires de la France libre. « La plupart n'avaient aucune appartenance idéologique d'ailleurs, comme ces Bretons qui se rallièrent en masse à l'époque. Très peu de recrues avaient déjà, commemoi, un vécu politique. »
« Au début, nous n'étions pas trois mille », poursuit Daniel Cordier. Le témoin rappelle que nombre de ces premiers « Français libres » n'étaient même pas français... Les hommes de la Légion étrangère, rescapés des combats deNorvège, formaient en effet une large part des maigres effectifs. « Sur une photo célèbre, de Gaulle passe en revue des soldats au garde-à-vous, le 14 juillet 1940, à Londres. Elle symbolise aujourd'hui l'engagement de la première heure d'une poignée d'hommes. Personne n'a remarqué que ces soldats portaient un foulard blanc, celui de la Légion. » Des étrangers donc, qui se sont ensuite battus et sont morts pour la France. Voilà qui est assez loin de l'idéologie véhiculée par Eric Zemmour.....
la suite sur : http://www.lemonde.fr/m-actu/article/2014/10/17/daniel-cordier-la-memoire-contre-l-ideologie_4507125_4497186.html
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Par bir hakeim le 22 Octobre 2014 à 12:19
Champs de BatailleN° 58 du 9 Octobre 2014
Les Dossiers Comprendre l'Histoire + 2ème revueN° 1 du 21 Octobre 2014
Militaria MagazineN° 351 du 30 Septembre 2014
2e guerre mondialeN° 56 du 27 Septembre 2014
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Par bir hakeim le 14 Octobre 2014 à 18:51
http://www.vitryenartois.fr/actualites.asp?card=1742 :
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70ème anniversaire de l’Atterrissage du Groupe Lorraine sur
samedi 18 et dimanche 19 octobre
Les samedi et dimanche : IL Y A 70 ANS, LA LIBERATION : présentation de
nombreux stands, exposition, campements, véhicules d’époque, participation
du 3/30 Lorraine sur le Terrain d’aviation, etc …
Dimanche :
9 heures 30 : rassemblement devant l’église Saint-Vaast de Brebières
10 heures 00 : cérémonie religieuse
11 heures 00 : cérémonie au Monument aux Morts et à la
plaque commémorative du Groupe Lorraine
11 heures 30 : cérémonie à la stèle du Groupe Lorraine - terrain d’aviation
Route Nationale
12 heures 00 : réception au terrain d’aviation.
Reconstitution de camps anglais, allemand et américain,
Exposition sur l’histoire de FAFL,
Exposition par l’association Antique Air, de matériels trouvés dans la région, tels que moteurs, bombes, etc
Vidéothèque avec 4 heures de film en boucle sur les FAFL et quelques films anglais sur des missions du Groupe Lorraine,
Exposition de photos et photos de l’Aérodrome de 1940 à 1945, par l’association Collectionmania et de Patrick Juillot,
Exposition de modélisme et aéromodélisme,
Stand de l’aéroclub et histoire des aéroclubs de Vitry depuis 1947 à nos jours,
Exposition d’uniformes et objets de pilotes du Lorraine, prêtés par leur famille,
Présence de Yannick Delefosse, historien, ayant participé à la création du musée de la Coupole de Helfaut, il travaille depuis quelques temps sur la prise de mesure et sur l’histoire des hangars allemands de Vitry en Artois. Il exposera autour du hangar divers panneaux avec plans, photos et histoire du terrain,
Représentation du groupe « les Amazones » d’Énergie Dance (danses d’époque).
Présence de vétérans sur le site (un de la 2ème DB, deux FAFL du Groupe Lorraine, et les enfants et petits enfants d’autres vétérans).
tombola sur place.
Buvette et restauration sur place assurées par le Comité des Fêtes. "
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Par bir hakeim le 1 Octobre 2014 à 16:43
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C'est depuis son domicile d'Eauze que Philippe Rambach, http://www.francaislibres.net/liste/fiche.php?index=37794 91 ans, a suivi, à la télé et dans les journaux, les nombreuses cérémonies célébrant le 70e anniversaire de la Libération. Issu d'une très ancienne famille israélite de Moselle (son arrière-grand-père avait quitté Metz après la défaite de 1870 pour continuer à rester Français), ce résistant de la première heure se souvient de ces jours historiques et de son engagement au sein de la 1re DFL (division de la France Libre), de la campagne d'Afrique au débarquement en Provence jusqu'à la libération de l'Alsace.
Dans quelles circonstances avez-vous répondu à l'Appel du général de Gaulle le 18 juin 1940 ?
«Pendant l'année scolaire 1939-1940, j'étais élève en classe de philosophie au lycée de Bayonne. J'avais 17 ans lorsque j'ai entendu le discours du général sur les ondes de la BBC. Deux jours plus tard, je m'évadais de France par Saint-Jean-de-Luz et je rejoignais Londres pour m'engager dans les FFL le 1er juillet 1940».
Quel a été votre parcours au sein des forces de la France Libre ?
«Au début, j'ai été affecté au Train du corps expéditionnaire comme conducteur. Puis, en août 1940, j'ai embarqué sur le Westernland. J'ai participé à toutes les opérations de la 1re DFL, à Dakar, en Erythrée, en Syrie, en Libye, en Tunisie et en Italie. Après un passage au corps franc de la Légion étrangère, dès la campagne d'Erythrée de 1941, j'ai été définitivement affecté à l'artillerie comme pointeur de canon puis chef de poste radio».
Vous aviez hâte sans doute de retrouver le sol français.
«Bien sûr, combattre enfin sur le sol national pour libérer la patrie était notre vœu le plus cher. Le jour le plus émouvant fut sans doute le 16 août 1944, quand j'ai débarqué à Cavalaire. C'est Toulon qu'on a libérée en premier. Puis, j'ai participé à la terrible campagne d'Alsace pendant les grands froids de l'hiver 44-45. J'ai été démobilisé en août 1945».
Quelle leçon avez-vous tirée de cette page d'histoire ?
«Après trois guerres contre l'Allemagne en 75 ans, nous n'avons plus d'ennemi héréditaire au sein de l'Europe. Il suffit maintenant de faire la paix entre Français, mais c'est une autre histoire !»
Ndlr : Philippe Rambach est titulaire de la Légion d'honneur, de la Médaille militaire, de l'Ordre national du mérite, de la Croix de guerre et de la Médaille de la Résistance.
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