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    Source : http://www.gensdumorvan.fr/agenda/details/3350-l-loccupation-et-la-liberation-dautun-r-conference-de-michel-villard.html

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    70e ANNIVERSAIRE DE LA LIBERATION d'AUTUN

    « L'occupation et la libération d'Autun »
    Conférence de Michel Villard

    Membre de la Sabretache, Société française d'histoire militaire
    Hexagone - Salle Jacques Gobetti, mardi 2 septembre, 20h30



    Heure par heure, les péripéties de "la grosse affaire d'Autun" comme l'écrira le Maréchal de Lattre. Ces combats des 8, 9 et 10 septembre 1944 brisèrent l'axe de retraite des colonnes allemandes venant du sud-ouest et du Centre. Ils furent menés par le régiment FTPF Valmy, le Corps Franc Pommiès, les maquis 'Lucien', 'Maurice' et 'Serge', le 2e Dragons, et des éléments de la 1ère Division Française Libre, Légionnaires, Fusiliers marins, 22e Bataillon de Marche Nord-Africain (Flanc-garde de la 1ère Armée française).
    Une projection de photos d'archives illustrera la conférence."


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    Compagnons de la Libération. De Dakar à Bir Hakeim, l’Afrique joue un rôle capital dans l’histoire de la France libre. Parmi ces soldats, Claude Lepeu   http://www.francaislibres.net/liste/fiche.php?index=81013 : “Nous nous trouvions singuliers, bien sûr, mais nous n’avons jamais eu l’impression d’être des héros.”

    « Je suis un très mauvais ancien combattant », avoue Claude Lepeu. La famille Lepeu n’a guère la fibre militaire. Bourgeoise, catholique pratiquante, de droite par habitude autant que par conviction, épargnée par la Première Guerre mondiale, elle se préoccupe plus de sa florissante entreprise de quincaillerie et de sa chasse en Sologne que de politique. Claude, le septième des huit enfants, dilettante des idées, bon vivant, plutôt insouciant et enthousiaste, ne pense pas autrement. Le 3 juin 1940, Paris est bombardé ; le 10, le gouvernement quitte Paris pour Tours ; le 12, Paris est déclarée ville ouverte. Lepeu rejoint sa famille à Orléans. Les Allemands avancent ; les Lepeu partent à Aubusson. Là, Claude Lepeu entend le maréchal Pétain annoncer l’armistice. « Je ne peux pas rester les bras croisés, se dit-il. Je pars. » Il a 19 ans. Admirateur de l’empire colonial, certain que le conflit durera, que les Anglais résisteront et que les Américains les aideront, il gagne Saint-Jean-de-Luz pour dénicher un bateau pour l’Espagne afin de rallier l’Afrique du Nord.

    Il y trouve un camarade parisien, Roger Touny, animé des mêmes sentiments. Des soldats polonais traînent dans les bars ; ils attendent d’être embarqués sur le Sobieski. Les garçons leur achètent des capotes, se glissent au milieu d’eux, grimpent à bord. Lorsque le bateau appareille, le 21 juin, ils découvrent qu’il se dirige vers la Grande-Bretagne et que s’y trouvent 110 Français, des militaires de toutes les armes et des jeunes gens, étudiants pour la plupart. Parmi eux, 19 (dont Roger Touny) deviendront compagnons de la Libération ! Sur le Sobieski, Lepeu apprend l’existence de l’appel du 18 Juin. Débarqués à Plymouth, interrogés longuement par les Anglais, ils sont rassemblés à Londres, à l’Olympia Hall, le centre d’accueil et de recrutement des Français libres. De Gaulle se présente. Un discours glacial. Mais pour Lepeu, une espérance : la formation d’une armée française sur le sol anglais. Aussi, avec la petite bande du Sobieski, il décide de rester. Et, le 29 juin 1940, il s’engage dans les Forces françaises libres.

    Direction le camp d’entraînement d’Aldershot, au sud-ouest de Londres. Il en revient pour défiler à Londres le 14 juillet 1940 avec quelques centaines de marins, d’aviateurs et de légionnaires devant la statue du maréchal Foch, en présence du général de Gaulle et de l’amiral Muselier. Au camp sont regroupés les premiers éléments de ce que l’on nomme alors “la légion de Gaulle”. En particulier deux lieutenants d’artillerie, l’un de réserve, Albert Chavanac, l’autre d’active, André Quirot, sont chargés de constituer un groupe d’artillerie composé d’une batterie à quatre canons de 75 millimètres et d’une section de deux canons de 75. Claude Lepeu est affecté à la première batterie.

    Le 30 août, les artilleurs s’embarquent sur le Penland et le Westerland. Opération “Menace”, direction Dakar, capitale de l’Afrique-Occidentale française (A-OF). Depuis le 7 août en effet, un accord entre Churchill et de Gaulle prévoit une aide matérielle aux Forces françaises libres qui, tout en restant aux ordres du général français, devront se plier aux directives du haut commandement britannique.

    Cette expédition en est la première manifestation militaire. Pour Churchill, Dakar est une escale sur la route du Cap, dont l’intérêt s’est accru depuis les difficultés survenues en Méditerranée. Pour de Gaulle, Dakar est une ouverture sur l’A-OF, alors que l’Afrique-Équatoriale française (A-ÉF), à l’exception du Gabon, vient de se rallier et que Brazzaville est devenue la capitale de la France libre. Préparée hâtivement, mal engagée, la détermination des autorités vichystes ayant été sous-estimée, l’opération, qui se déroule du 23 au 25 septembre, aboutit à un fiasco malgré une force navale non négligeable. Pour la première fois au cours de ce conflit, les Français ont tiré sur d’autres Français. De Gaulle, présent, est démoralisé. Il confiera plus tard : « Tout brûlait […] et là, oui, j’ai songé au suicide. »

    Semblable à Fabrice Del Dongo à Waterloo, Lepeu ne comprend rien de ce qui se passe à Dakar. Les artilleurs débarquent à Douala, au Cameroun, une immense région, base territoriale de la France libre, où de Gaulle reste six semaines. Avec son bastion avancé au nord que forme le Tchad, la France libre est au contact de la Libye italienne et est, par Khartoum, en liaison avec Le Caire pour alimenter le front d’Afrique du Nord et du Proche-Orient : entre 25 000 et 30 000 avions parviendront ainsi sur le front d’Égypte !

    Agrégés au corps expéditionnaire français du Cameroun, les artilleurs passent sous le commandement unique du commandant Jean-Claude Laurent-Champrosay, un saint-cyrien qui a rejoint les Forces françaises libres (FFL) depuis la Haute-Volta (Burkina Faso). Sous son impulsion, la petite unité d’artillerie s’étoffe, forme de jeunes Camerounais et Sénégalais, engagés volontaires.

    Une partie de cette unité rejoint la brigade française d’Orient, créée en octobre 1940, et participe aux côtés des Anglais à la campagne d’Érythrée contre les Italiens au printemps 1941. Une autre partie, à laquelle appartient Lepeu, contourne l’Afrique, remonte la mer Rouge, traverse le Sinaï, puis est dirigée sur le camp de Qastina, au sud de Jaffa, où se rassemblent toutes les Forces françaises libres terrestres présentes au Moyen-Orient. Elles prendront le nom de division légère française libre (DLFL) sous le commandement du général Legentilhomme, de la coloniale.

    Le 26 mai, venant d’Afrique noire, de Gaulle passe en revue cette division de 5 400 hommes et remet les premières croix de la Libération, notamment à Pierre Messmer. Il annonce que la DLFL va participer avec les Britanniques aux opérations au Liban et en Syrie sous mandat français depuis 1920...lire la suite...

    Le 10 juin, Koenig reçoit ce message du général de Gaulle : « Sachez et dites à vos troupes que toute la France vous regarde et que vous êtes son orgueil. »

    Atlas de la France libre, de Sébastien Albertelli, Autrement, 80 pages, 17 €."


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    Dans la Manche, les Américains sont en terre inconnue. Ils ont recruté des agents spéciaux qui, derrière les lignes, évaluent les forces et positions de l’ennemi. Louis Huet fut l’un d’eux.

    Bien avant le Jour J, les Alliés avaient établi une liste des résistants les plus fiables pour mener individuellement sur le terrain du recueil de renseignements. Ces espions devaient fournir en permanence, dès les premiers combats, des informations précises sur le dispositif et les armes de l’ennemi. Dans la Manche, ils travaillaient pour le compte du fameux OSS, l’Office of Strategic Services américain.
    Parmi eux fut recruté Louis Huet, employé des PTT et membre du réseau OCM. Deux jours après le Débarquement à Utah-Beach, l’OSS installait discrètement sa première antenne française de renseignement dans le bourg de Ravenoville (à quatre kilomètres des plages). Le capitaine Guattary, officier du BCRA,  http://www.francaislibres.net/liste/fiche.php?index=72371  le service de renseignement et d’actions clandestines de la France Libre, et chef de la mission française auprès de la 1ère Armée US, y officiait. “Il est venu directement à la ferme où je travaillais, ce qui montre qu’il avait des informations précises sur moi et mes activités de résistant, raconte Louis Huet (1). Je devais me déplacer dans les zones de combat, comme un paysan chassé de sa ferme par les affrontements et cherchant refuge dans un endroit un peu plus calme. Ma connaissance des lieux, des gens et du patois local devaient me permettre de franchir les lignes encore très mouvantes pour ramener des informations sur l’ennemi (position, armement, état d’esprit et valeur des troupes, types d’unités, mouvements, etc.)
    J’acceptais ces missions bien sûr, heureux de continuer le combat sous une autre forme”.


    .....la suite ici : http://www.lamanchelibre.fr/actualite-52722-je-devais-me-fondre-dans-les-lignes-.html


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  • "Quand le James Bond français était parachuté sur la France"

    "Quand le James Bond français était parachuté sur la France"

    Source : http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/06/06/quand-le-james-bond-francais-etait-parachute-sur-la-france_4433880_3224.html

     

    Son nom est Maloubier. Bob Maloubier. Le parallèle avec James Bond s'impose. A 91 ans, l'homme conserve un incroyable bagou, un charme aussi énorme que ses moustaches soignées et un goût prononcé pour le champagne. Après une vie à parcourir le monde et à monter des coups tordus pour le compte des services secrets français, puis de la compagnie pétrolière Elf, il est de retour où tout a commencé. Hasard ou destin, sa maison de campagne en Normandie se trouve tout près de là où il a été parachuté la première fois.

    « METTEZ L'EUROPE À FEU ! »

    C'était en août 1943. Le jeune Bob, neuilly-pontain bien sous tous abords, saute sur Louviers. Agé de tout juste 20 ans, il arrive avec une mission essentielle, que Winston Churchill a résumé quelques années auparavant d'une phrase-slogan : « Mettez l'Europe à feu ! »

    Bob ne travaille pas pour De Gaulle et son BCRA (Bureau central de renseignements et d'action). Comme il le raconte dans son autobiographie, Agent secret de Churchill (Tallandier, 2011), il a été recruté par les Britanniques, à Alger où il était arrivé l'année précédente en voulant rejoindre Londres. Il appartient à l'ultraconfidentiel Special Operations Executive (SOE), le « bébé » de Churchill, en charge de l'action « subversive ». Face à l'Europe défaite, le Vieux Lion a imaginé d'envoyer sur le terrain des agents pour mener une guérilla de l'intérieur, à coup d'attentats et de lutte « asymétrique » comme on dit aujourd'hui. Dans chaque pays occupé, il envoie des petites équipes de trois personnes – un spécialiste des explosifs, un chargé des liaisons radio, un chef de groupe – qui ont pour mission de faire dérailler les trains, sauter les ponts, détruire les usines…

     

    Pendant la seconde guerre mondiale, 13 000 personnes travailleront pour le SOE. Seule une minorité sont des agents sur le terrain, le reste travaillant en soutien depuis l'Angleterre. La section française comptera environ 350 agents. Aujourd'hui, Bob Maloubier est l'un des deux derniers encore en vie.

    En cet été 1943, le Débarquement se prépare, tout le monde le sait. Où et quand, rien n'est sûr, mais il faut affaiblir les fortifications du mur de l'Atlantique mis en place par Rommel. Bob reçoit par radio clandestine le nom des cibles industrielles qu'il doit viser : une usine qui fabrique des pièces de train d'atterrissage d'avions, une autre qui fournit en électricité la zone industrielle de Rouen, et – son plus beau coup – un navire ravitailleur de sous-marins au Havre. « J'ai fourni l'explosif à un de mes gars, qui travaillait au port. Il l'a mis dans la soute. Le lendemain, on ne voyait plus que le drapeau du navire qui sortait de l'eau ! »

    SAUVÉ DE LA MORT PAR LE GEL

    Pendant cinq mois, Bob Maloubier tisse son réseau en France. Une longévité exceptionnelle, alors que la durée de vie moyenne des agents du SOE en mission est de six semaines. ça ne pouvait pas durer. Dans la nuit du 20 décembre 1943, en route sur sa Mobylette, Bob tombe sur une voiture de la Wehrmacht. Capturé, il parvient à s'échapper, mais il est touché d'une balle qui lui transperce foie et poumon. Crachant le sang, haletant, il s'enfuit à toutes jambes, traverse un canal pour échapper aux chiens et s'écroule dans un champ. Dehors, il fait moins 10 degrés.

    « Ce jour-là, je suis mort. » Ou plutôt il serait mort d'une hémorragie par un temps normal. Mais le froid arrête le saignement. « Je me suis réveillé le lendemain, une gaine de glace autour de moi. » Il se traîne jusqu'à un médecin, qui le soigne comme il peut. Quelques mois plus tard, il est remis d'aplomb, et parvient à rentrer à Londres. Pendant que les agents du SOE mettent « l'Europe à feu », les services secrets de Sa Majesté travaillent depuis l'Angleterre à un autre plan, essentiel au succès du Débarquement : Fortitude. C'est le nom de code d'une gigantesque opération de désinformation, pour faire croire aux Allemands que le Débarquement aura lieu ailleurs qu'en Normandie. Au nord, l'objectif est de faire gober à l'ennemi qu'en Ecosse, une quatrième armée britannique – qui n'existe pas – est prête à attaquer par la Norvège. Au sud-est de l'Angleterre, il s'agit d'inventer la First United States Army Group (Fusag), qui préparerait une offensive dans le Pas-de-Calais.

    ARABEL, L'AGENT DOUBLE VENU D'ESPAGNE

    Dans son livre paru en mai, Les Secrets du jour J. L'Opération Fortitude ou comment Churchill mystifia Hitler (éditions La Boétie), Bob Maloubier raconte comment un improbable petit Espagnol va jouer un rôle décisif dans son succès. Quelle mouche a donc piqué Juan Pujol Garcia ? Scandalisé par la victoire d'Hitler, opposé à la dictature de Franco, il se présente un jour de 1941 à l'ambassade de Grande-Bretagne à Madrid, proposant d'être espion. On lui rit au nez, ne sachant d'où sort cet olibrius. Il se dit qu'il aura peut-être plus de chance d'être accepté s'il devient… agent allemand dans un premier temps.

    Il y parvient, retourne voir les Alliés, leur propose d'être agent double. Nouveau rejet, jusqu'à ce qu'un Américain s'intéresse de près à cet étrange Juan Pujol Garcia et convainque ses homologues britanniques de l'utilisation qui peut en être faite. Enfin arrivé en Grande-Bretagne, et sous contrôle étroit, Arabel – son nom de code – envoie de multiples messages aux Allemands, s'invente un réseau et des collaborateurs, complètement fictifs. De temps à autre, il donne des informations correctes, pour gagner leur confiance.

    Quand arrive le Débarquement, tout est en place : la guerre d'usure du SOE d'un côté, celle de désinformation des agents doubles de l'autre. Le 6 juin, Arabel – avec l'approbation directe de Churchill – tente un coup de maître : dès 3 heures du matin, il envoie un message avertissant d'un important débarquement sur les plages de Normandie. Son bureau de liaison en Espagne étant fermé la nuit, les officiers sur place ne recevront l'information que bien trop tard. Mais leur confiance en Arabel est désormais complète.

    FAIRE SAUTER DEUX PONTS PAR NUIT

    Deux jours plus tard, ils sont donc prêts à le croire quand celui ci leur révèle que le vrai Débarquement aura lieu dans le Pas-de-Calais. « L'offensive actuelle est un piège… Ne lançons pas toutes nos réserves… », avertit-il par radio. Le haut-commandement allemand ordonne immédiatement aux unités parties en renfort vers la Normandie de faire demi-tour.

    Parallèlement, le 7 juin, Bob Maloubier et son équipage s'envolent d'Angleterre. Destination : le Limousin. Objectif : saboter la remontée de la redoutable division Das Reich, qui part à la rescousse vers la Normandie. A raison de deux ponts par nuit, Bob ralentit leur progression. « Je faisais sauter les ponts la nuit. Le lendemain, une locomotive blindée des Allemands venait, ils réparaient, se retiraient… et je recommençais la nuit d'après. » Au total, Das Reich prendra quinze jours de retard.
    Entre les renforts allemands bloqués dans le Pas-de-Calais et ceux immobilisés par les embuscades du SOE, les troupes alliées ont bénéficié d'un répit inestimable. Point commun dans cette bataille : Winston Churchill, et son goût des coups tordus.

    Pourtant, en France, l'existence du SOE a longtemps été passée sous silence. De Gaulle ne voulait pas en entendre parler : après la guerre, il a tout fait pour en taire les exploits. La Résistance se devait d'être exclusivement française. Le livre de référence de l'historien Michael Foot sur le SOE, publié en 1966, ne sera traduit en français… qu'en 2008 (Des Anglais dans la Résistance. Le SOE en France, 1940-1944, préfacé par Jean Louis Crémieux Brilhac, Tallandier, 2011, 2e éd.). Et soixante-dix ans plus tard, Bob Maloubier sait qu'il sera invité aux cérémonies de commémorations… par les Britanniques, pas par les Français.


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    Source : http://www.larepubliquedespyrenees.fr/2014/06/06/souvenirs-des-bearnais-acteurs-de-la-liberation,1196907.php

     

     

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    Ce 6 juin débutent les cérémonies commémoratives du 70e anniversaire du débarquement et de la bataille de Normandie en présence d'une vingtaine de chefs d'État et têtes couronnées.

    Dans les Pyrénées-Atlantiques, les anciens suivent avec émotion l'hommage de la nation aux héros de la Seconde Guerre mondiale. Parmi eux, quelques vétérans aux parcours exemplaires qui ne convergèrent pas tous vers le nord-ouest de la France.

    "Nous avons recensé 228 titulaires de la carte de combattant ou de volontaire de la Résistance qui ont un lien avéré avec la Libération du pays", indique Jean-François Vergez, directeur de l'Office national des anciens combattants et victimes de guerre (ONACVG). Il cite aussi le cas de Mohamed Khaliss qui participa aux opérations de Provence. Quand leur état de santé le leur permet, les vétérans se retrouvent au sein des comités locaux d'associations patriotiques tels que les Évadés de France, la Fédération des déportés, internés, résistants et patriotes, les Forces françaises libres ou encore les Anciens de la 2e division blindée (DB).

    André Billaud  http://www.francaislibres.net/liste/fiche.php?index=55685  est l'un des derniers témoins de cette période :


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