• Impressionnant !

     

    Mannequin au 1/6e d'un fusilier-marin commando

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  • Source : http://www.lepaysbriard.fr/l%E2%80%99ancien-chauffeur-du-general-de-gaulle-n%E2%80%99est-plus-17590/

    "Il avait combattu durant la Seconde Guerre mondiale, et fut plusieurs fois prisonnier, avant de devenir chauffeur du général de Gaulle. Alfred Pauchard  http://www.francaislibres.net/liste/fiche.php?index=89610  est décédé mardi 21 avril.

    L’ancien chauffeur du général de Gaulle n’est plus

    Florence Talbi, directrice de la maison de retraite Saint-Aile de Rebais, l’ensemble du personnel, les bénévoles et les résidents comme de nombreux Resbaciens ont appris avec peine le décès survenu le mardi 21 avril d’Alfred Pauchard, chevalier de la Légion d’honneur.
    M. Pauchard, né le 12 février 1922 au Creusot, était arrivé en 2013 à la maison de retraite de Saint-Aile. Le jeudi 21 mars 2013, une cérémonie exceptionnelle avait eu lieu en présence des plus hautes autorités et de Christian Lantenois, maire de Rebais, pour la remise du diplôme de la Légion d’honneur.

    Percée de toute part

    Décoré par le Général de Gaulle dont il fut ensuite le chauffeur, M. Pauchard affichait des états de service prestigieux.
    Alfred Pauchard, à 18 ans et demi, décida de s’engager au combat dès les premières heures de la Seconde Guerre mondiale.
    Syrie, Liban, Libye, les campagnes s’enchaînent et c’est une première blessure en Tunisie puis une seconde : « C’était à Tripoli, mon automitrailleuse a été percée de toute part », racontait-il.
    Blessé également en 1944, lors des combats du débarquement en Normandie, puis toujours en 1944 dans les Vosges, M. Pauchard fut fait prisonnier une première fois en août 1944. Il s’évada. Repris, il s’évada de nouveau…
    Il participa activement à la Libération de Paris avant de poursuivre les combats vers l’Est.
    À Nancy, il est décoré par le Général de Gaulle dont il viendra par la suite le chauffeur.
    Par son courage, sa ténacité et sa volonté farouche, M. Pauchard mena une vie combattante de premier ordre et c’est un résident d’une grande qualité que vient de perdre la maison de retraite de Rebais.
    Il avait eu la joie à l’automne 2013 de se rendre également à Colombey-les-deux-Eglises accompagné par René Houde, bénévole à Saint-Aile, pour un émouvant pèlerinage.

    Brave parmi les braves

    M. Pauchard participait aux cérémonies patriotiques et on pouvait l’apercevoir, par exemple, à celle du 11-novembre à Rebais, s’intégrant ainsi à la vie locale.
    C’est à Saint-Aile, entouré d’un personnel dévoué et attentionné, que ce brave parmi les braves termina paisiblement son existence au terme d’une vie bien remplie et toute dévouée à la défense de la France, servant d’exemple aux jeunes générations. Ses obsèques ont eu  lieu, hier lundi, en l’église de Rebais. Le Pays briard adresse à toute sa famille ses sincères condoléances."

     

     

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    Libérée en 1945, Huguette Gallais évoque son retour à Fougères

     

     

    Source : http://www.ouest-france.fr/liberee-en-1945-huguette-gallais-evoque-son-retour-fougeres-3348743

     

    Par Nicolas BLANDIN.

    Déportée dans les camps d’extermination de Ravensbrück et Mauthausen, la Résistante Huguette Gallais http://www.francaislibres.net/liste/fiche.php?index=17792 se souvient de son retour à Fougères, il y a 70 ans.

    La Résistante Fougeraise Huguette Gallais a vécu 42 mois de détention pendant la Seconde Guerre mondiale. De son retour à Fougères, elle évoque les difficultés mais aussi la grande solidarité.

    Des ouvriers ont tenté d'empêcher les cars de partir

    « Il y a eu beaucoup de déportés sur le secteur de Fougères. » Huguette Gallais, dite « Juanita », fut de ceux-là. Trahie par des autonomistes bretons, comme d’autres membres du groupe de Résistance Gallais, elle est arrêtée. « Sur la place Gambetta, l’annonce de notre arrestation a vite circulé et de nombreux Fougerais, notamment des ouvriers, ont tenté d’empêcher les cars de partir. Les Allemands ont alors pointé leurs armes vers eux », se souvient Huguette. Elle a vécu de longs mois de détention violente en prison puis l’enfer des camps de concentration à Ravensbrück et Mauthausen.

    Voués à disparaitre

    Douze membres du groupe, rallié au réseau national de la France libre « Ceux de la Libération », sont condamnés à mort par le régime nazi et huit sont guillotinés. Pour les quatre autres, la peine est commuée en travaux forcés : Huguette et sa mère Andrée Gallais, Louise Pittois et Marcel Le Bastard. « On n’a pas été graciés mais on était catalogués « Nuit et brouillard ». Autrement dit voués à disparaître. » Louise Pitois ne reviendra pas.

     

    Libérée en 1945, Huguette Gallais évoque son retour à Fougères

     

    « Notre maison était détruite »

    Huguette et Andrée sont libérées du camp de Mauthausen le 22 avril 1945. Comme tous les déportés, elle fait étape à l’hôtel Lutetia, à Paris. Le retour à Fougères se déroule le 2 mai.« Quand on est arrivées, il y avait un peu de monde, notamment des gens du groupe, pour nous accueillir. Mais notre maison, la conciergerie du château, était détruite, comme toutes celles de la Pinterie. Une tante de Pontorson nous a accueillis. J’avais tellement de poux que l’on a dû m’épouiller à l’hôpital ! On a ensuite vécu pendant dix ans dans un baraquement. »

    Il fallait continuer de vivre

    Huguette a perdu son père, guillotiné, mais aussi son frère, arrêté après la première rafle. « On sait qu’il est mort dans les camps. Mais on ne sait pas si c’est à Auschwitz ou à Dachau. »Il a fallu se réhabituer à une vie normale. « On mangeait, mais pas facilement. Au tout début, on n’avait plus rien. Les Fougerais ont été solidaires. » Malgré les problèmes de santé, « tout le monde souffrait de quelque chose au retour des camps », il fallait continuer de vivre. Et de perpétuer le souvenir.

    « Se battre pour la France »

    Les années qui ont suivi la fin de la guerre, les anciens déportés se retrouvaient autour de repas annuels. « Il y avait des gens de toutes tendances politiques, remarque Huguette Gallais. On n’a également jamais cessé de voir d’anciens détenus allemands qui sont devenus des camarades de combat. » Elle ne garde pas de haine contre ce peuple. Mais l’affirme : « Si c’était à refaire, je le referais. Ce qui comptait, c’était de se battre pour la France. »

      "On ne sait pas où elle a été enterrée"

    Aujourd’hui encore, à 94 ans, Huguette n’oublie pas ses compagnons d’infortune. « Louise Pitois est la seule du groupe qu’on n’a pas retrouvée. On avait été séparée. On sait qu’elle est morte libre, peu après l’arrivée des Anglais à Bergen-Belsen. Mais on ne sait pas où elle a été enterrée. » C’est à la famille de Louise Pitois de faire les démarches pour qu’elles reviennent elle aussi sur ses terres. « Il faudrait même une rue à son nom à Fougères. »

    Libérée en 1945, Huguette Gallais évoque son retour à Fougères

     

    "Guerre 39-45 Réseau de résistance Gallais à Fougères Les familles du grope de résistance Gallais ont confectionné cette croix de Lorraine avec les effigies des sept personnes exécutées par les Nazis en Allemagne et d'une déportée morte en camp : René Gallais, Jules Frémont, Francois Lebossé, Raymond Loyzance, Antoine Perez, Marcel Pitois, Louis Richer, Louise Pitois |"

     

     


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    "Un chiffre en rouge sang: 21335... des caractères qui ont traumatisé à vie un jeune français, André Vovk http://www.francaislibres.net/liste/fiche.php?index=101098 . En 1943, il s'est engagé auprès des Forces Françaises Libres, à Londres, et a finalement été arrêté, puis déporté vers les camps de concentration, en Allemagne nazie. 


    Mais il n'a pas connu la même fin que les autres. Traîné dans des convois, il a échappé à la mort.
    Ce récit troublant, "Le convoi", écrit en 1971, son fils Dominique le met en scène aujourd'hui au théâtre ...suite"


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    Sourcehttp://www.courrier-picard.fr/region/clermont-sur-les-pas-d-un-explorateur-ia188b0n552881

     

    "François Tabuteau fit partie, en 1950, de la première expédition polaire en Terre-Adélie. La vie de ce Clermontois est dévoilée à travers une exposition qui commence ce vendredi 17 avril.

    "CLERMONT : Sur les pas d’un explorateur"

     

    L’idée remonte à 2012 lorsque, à l’occasion d’une exposition à l’espace Séraphine Louis baptisée Voyages polaires, philatélistes et historiens découvrent l’existence d’un explorateur polaire originaire de Clermont, François Tabuteau.

    « Il était tombé dans l’oubli, reconnaît Claude Drouard, membre de la Société archéologique et historique de Clermont. François Tabuteau est arrivé à Clermont en 1929 à l’âge de 8 ans. Il y a passé toute sa jeunesse ; son père étant assureur rue Roger-Martin-du-Gard. Il en est parti en 1940, pour s’engager dans l’armée. »

    Après plusieurs années passées dans les Forces françaises libres en Afrique du Nord, centrale et ouest, François Tabuteau rejoindra la première expédition polaire en Terre-Adélie (Antarctique), emmenée par Paul-Émile Victor à bord du Charcot, afin d’implanter une base à Port Martin. Débarqué en janvier 1950, il y séjournera deux années de suite, en 1950 et 1951, comme hydrographe, observateur astronomique et navigateur......suite"

    François Tabuteau est l'auteur de "Routes d'Amitiés" :

    "CLERMONT : Sur les pas d’un explorateur"

     


    Routes D'amité est le récit des trois frères qui joignant les Forces Françaises Libres, servirent jusqu'à la libération du territoire. "

    http://www.francaislibres.net/liste/fiche.php?index=97535


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